Ma pratique professionnelle s’inscrit dans un mouvement écoresponsable, en recyclant des sagesses oubliées. En réactualisant nos symboles pour imaginer un mieux vivre ensemble. 

 

J’explore les zones de dialogue entre l’intime et le politique,

entre les récits individuels et les structures collectives

(Est-ce que je fais de l'art intersectionnel ?)

​

Artiste, médiatrice, intervenante sociale, philosophe, gestionnaire de chaos, mère, voisine, fille et citoyenne. Mes projets prennent vie dans une visée d'innovation sociale, souvent sous la forme de collages, d’installations participatives ou de récits fragmentés, car ces outils créatifs sont, à mon sens, des moyens concrets pour réorganiser le monde autrement. (Mieux ?)

​

Je cherche à rendre visibles les silences, à recoudre ce qui a été dispersé, à honorer les mémoires qui échappent aux récits dominants et à inclure toutes les parties prenantes dans l’acte de création des utopies à construire.

 

J’aime le cheap art et la lasagne. 

​

Je propose un jeu d'architecture intérieure pour transformer l'environnement grâce à l’acte imaginaire. C’est ma manière de transformer le narratif pour que chaque projet devienne un lieu de rencontre et de commun, pour réimaginer ensemble ce que pourraient être : la justice, la beauté, la réparation, la politique, ou le silence. (De quoi voulez-vous parler ?)

​

Ma démarche citoyenne se veut une berceuse pour nos rigidités.

Une manière de faire basculer le réel vers le vivant.

​​​​

​